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Le maréchal de la Ferté-Seneterre entrant dans Belfort - 1654
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Le maréchal de la Ferté-Seneterre entrant dans Belfort - 1654 Lucien Mélingue

Artiste
Lucien Etienne Mélingue 1841 - 1889

Époque
1887

1879 pour le tableau exposé au Salon des Artistes Français

École
École française de peinture

Dimensions à vue
Longueur : 22,2 cm
Hauteur : 32 cm

Dimensions avec cadre
Longueur : 32 cm
Hauteur : 41,5 cm

Signature
En bas à gauche

Daté, 1887

Cadre
en bois doré

Matériau
Huile sur panneau


Zoom sur l'oeuvre


GTGTMELINGUE

2 250€

Lucien Étienne Mélingue, fils de...

Avoir un père à la personnalité flamboyante, au charme ébouriffant, au charisme époustouflant, au talent remarquable et au succès si colossal que 20 ans après sa mort, on parle encore de lui comme d’un génie, semble a priori être un bien grand carcan. Toutefois, bien qu’ayant vécu dans l’ombre de cette glorieuse postérité paternelle, LUCIEN et son frère GASTON, loin de vouloir s'en affranchir, la revendiquent et l'assument sereinement…

Voyons l’affaire !

Etienne-Marin MÉLINGUE (le père donc de notre peintre Lucien) naquit rue du Port, Division du Nord, à Caen, le 16 avril 1807. Son père, Jean, solide normand à la florissante moustache, originaire de la Manche, s’était engagé volontaire en 1792, puis avait rejoint le corps des Douanes en 1806. Cette même année, le nouveau préposé aux Douanes épousait une délicate et ravissante raboutisseuse de dentelles* caennaise, Suzanne BOULON. Les salaires ne sont pas élevés, le logement n'est pas grand, la vie est âpre, mais la famille est heureuse jusqu’à l’année 1812.  Etienne n’a que 5 ans, et son petit frère Adolphe 3, lorsque la dentellière s’éteignit. Le père perdit son sourire, mais les enfants ne manquèrent jamais de l'amour paternel, quoique fort grognon.
Las, le malheur n'en n'avait pas fini avec la famille Mélingue. Quelques mois après sa mère, le petit Adolphe était à son tour emporté par une méchante fièvre typhoïde. Le douanier Jean, qui était souvent en missions aux durées incertaines, inscrivit Etienne à l’école gratuite de Peinture et de sculpture. Il avait remarqué que le garçon aimait à crayonner. Mais voilà qu'un jour, sur le chemin de l'école, le garçon tombe sur une troupe de saltimbanques et désormais, rien d'autre n'a d'importance que de les retrouver pour exécuter n'importe quelle tâche qui lui était confiée…
Je ne vais point vous conter ici en détail la vie d’Étienne, toute mouvementée, rocambolesque et passionnante qu’elle soit ! Je vais simplement vous en servir un petit concentré qui vous fera comprendre de quel poids pesa le père sur la destinée de ses fils.

Étienne construisit sa carrière d'acteur à la force de sa volonté, et de son talent. Sur la scène des théâtres de boulevards parisiens (Théâtre de la Porte Saint-Martin, de l’Ambigu-Comique boulevard du Temple, de la Gaité, de l'Odéon…) où il triomphait il fut Ruy Blas, d'Artagnan, Benvenuto Cellini, le comte de Monte-Cristo, Fanfan la tullipe et tant d'autres personnages pittoresques, généreux, comiques, époustouflants que les critiques le surnommaient lidole des boulevards, tandis que dans la rue, les petites ouvrières qu’il croisait rougissaient en lui lançant des œillades et un téméraire Ohé, le mousquetaire de Belleville !
Si notre comédien ne pouvait vivre sans la scène, il ne pouvait vivre sans l'ébauchoir et la glaise... Embauché sur le chantier de la Madeleine, il y sculpta les chapiteaux avant de laisser libre cours à son inspiration, et de proposer de temps à autre, une statue au Salon des Artistes Français. Le pinceau le taquinait aussi, et dans les périodes maigres, peignait de remarquables portraits qui payaient les factures ! Et trait de génie, il allia les deux arts, peignant en cours de pièce un tableau, ou sculptant une magnifique Hébé, alors même qu’il interprétait sur scène le rôle de Benvenuto Cellini**.

Il rencontra sur les planches une demoiselle, Théodorine Thiessert, qui arrivait de Bordeaux. Son talent et ses jolis yeux attiraient tous les regards. Le premier enfant arriva un peu vite. Gaston naquit le 26 juillet 1839 alors que ses parents ne vivaient pas ensemble. Étienne était séducteur, mais pas volage. De plus, il était séduit. Huit mois plus tard, le 24 mars 1840, il régularisa la situation à la mairie du 6ème arrondissement. Le 18 octobre 1841, Lucien naissait à Passy, sans que Théodorine n’interrompe sa carrière. En 1843, l’année même où elle est admise à la Comédie Française, sous ne numéro de sociétaire 262, Victor HUGO la retient pour le rôle de Guanhumara, dans sa pièce Les Burgraves, qui est donnée au Théâtre Français pour la première fois le 7 mars 1743. C'est la naissance de la petite Suzanne, d'une blondeur d'ange qui lui donna le goût de se retirer du théâtre en 1852. Étienne avait trouvé en 1847, à Belleville, au 19 de la rue Levert, un pavillon à son goût. Ce n'était certes pas très grand, mais il y avait tout autour un grand jardin arboré qui lui donnait l’illusion de la campagne. De plus, il était doté de tant de dépendances qu’il y installa quatre ateliers ! Le premier pour lui, où, sorti du théâtre, il crayonnait et taquinait la glaise. Le deuxième pour Théodorine, qui peignait avec grand talent des bouquets de fleurs et des paysages. Chacun des garçons reçut son atelier, où Étienne venait prodiguer ses conseils. Le talent des garçons s'affirmant, il les confia au grand maître Léon COGNIET, et tous deux débutèrent au Salon de 1861. Lucien passant à l’atelier de Jean-Léon GÉRÔME et se spécialisa dans la peinture d’histoire.

En 1873, le célèbre critique d’art Jules CLARÉTIE écrivait dans son avant-propos sur le salon de 1873*** « je suis deux fois heureux de les [ Gaston et Lucien] signaler, et de voir que le nom de Mélingue est fort bien porté par ceux qui en héritent. La peinture puissante et romanesque de Lucien plait au public et aux critiques. Le panache que son père avait sur scène, lui l’avait sur la toile. Un temps affranchi de son atelier de la rue Levert, Lucien y revint à la mort de son père. Le tourbillonnant acteur, le sculpteur infatigable, l’ami indéfectible, l’artiste généreux qui avait fondé, avec l’ami Paul de Kock****, un foyer pour vieux artistes de théâtre, rue de la Vilette*****.

Bien que robuste et de solide constitution, le 27 mars 1875, Étienne Mélingue se sentit pris de faiblesse alors qui'il se promenait avec son fils Lucien. Revenu à la maison, il demanda à s’allonger, mais jamais ne se releva.
La carrière des frères Mélingue se poursuivit, toujours dans l’ombre paternelle, tandis qu’à Belleville, Théodorine ne sortait plus guère de chez elle où elle s’éteignit, onze ans après son époux. Lucien lui, souffrait déjà de cette maladie qui l’emmènait régulièrement en cure à Aix-les-Bains. L'eau thermale ne suffit pas à le guérir, et il mourut dans les bras de son frère Gaston, le 3 octobre 1889, à l’âge de 47 ans.

On aurait pu croire que "débarrassés" de son père, et de son frère, Gaston sortirait de l’ombre, enfin ? Quel étrange fatalité l’y maintint les 25 ans où il survécut, solitaire, à sa famille. Avec une remarquable autant qu'une déconcertante unanimité dans l'erreur, ce fut sa mort, et non pas celle de Lucien qui fut annoncée. Du Figaro, en passant par le Radical, le Petit Marseillais, tout autant que Le Temps ou Le Gaulois, aucun organe de presse, pour sérieux qu'il fut, pas plus d'ailleurs que les revues artistiques tel le Journal des Artistes ne manqua de s’attrister de son décès. Gaston ne réclama aucun démenti et c’est ainsi que, le 19 janvier 1914, L’Action titrait Mélingue est mort deux fois. Gaston Mélingue, […] était le fils de l’illustre comédien Mélingue, l’idéal Lagardère du Bossu, le héros de tous les drames de Dumas père et de tous les mélos à la mode du milieu du 19ème siècle. […] Gaston Mélingue était déjà mort en 1889 : on l’avait confondu avec son frère Lucien. Et voici qu’il meurt pour la seconde fois. 

Triste épitaphe pour cet artiste de grand talent. Triste absence d’épitaphe pour Lucien dont l’art était encore plus puissant. Tristes fils qui vécurent dans l’ombre d'un père flamboyant malgré lui.

Mais heureux artiste dont l’œuvre est aujourd’hui parvenue jusqu’à nous… et qui malgré tout en son temps obtint les récompenses qu'il méritait puis qu'après une Première médaille au Salon, il fut hors concours, et que la Nation reconnaissante lui décerna la Légion d'Honneur en 1877.

* La raboutisseuse de dentelles assemblait ensemble les longues bandes de dentelles de manière à former de véritables tissus de dentelles.

** Pièce du romancier et dramaturge Paul MEURICE 1818-1805, jouée en 1852 au Théâtre de la Porte Saint-Martin. L’empereur Napoléon III et l’impératrice Eugénie voulurent acquérir la statue produite lors du spectacle, mais Etienne leur fit livrer une statuette similaire chez lui

*** L’Art etles Artistes Français Contemportains, Jules Clarétie, 1873, pp 178-179

**** Paul de Kock 1793-1871, grand ami d'Étienne Mélingue, était dramaturge, libréttiste, parolier, mais aussi  un romancier plein de verve et un feuilletoniste truculent d'une immense popularité.

*****cet asile accueillera des vieux artistes de théâtre jusqu’en 1889.

Le duc de la Ferté-Seneterre, maréchal de France

Ce petit tableau, 32 X 22,2 cm à vue, est en fait le détail d’une toile au demeurant à peine plus grande* présentée au Salon des Artistes Français de 1879, et aussitôt acquise par la ville de Belfort où elle figure dans la salle d’honneur de l’Hôtel de Ville.
Cette oeuvre porte le long titre de

Le Maréchal de la Ferté s’emparant de Belfort, défendu par le comte de la Suze,
et réunissant définitivement cette ville à la France, 1654. 

Faisant fit de la scène historique, le tableau que vous présente la Galerie, met à l’honneur le personnage principal de la scène, le maréchal-duc de la Ferté-Seneterre.
Avant de nous attarder un peu sur ce personnage haut en couleurs, éclaircissons rapidement l'évènement historique de cette oeuvre, et restituons-là dans son contexte. On aurait pu croire qu'en 1879, cet épisode de la Guerre de Trente aurait été oublié. Que nenni ! Il est au contraire brûlant d'actualité ! Comment oublier que, huit ans auparavant, la France avait perdu l'Alsace et la Lorraine?  Elle avait d'ailleurs, aussi perdu le territoire de Belfort au terme d'une lutte acharnée menée par tous les habitants de la cité, mené par l'infatigable colonel Pierre-Marie Denfert-Rochereau. Pendant 103 jours, Belfort résiste au siège mené par la Prusse avec tellement plus de panache, de vigueur et d'espoir que Sedan... Aussi, face à une telle glorieuse défense, Adolphe Thiers négocia-t-il d'arrache-pied le maintien de Belfort dans le territoire national, même s'il fallut pour cela céder davantage de la Lorraine... 

Autre temps ... autres sièges ! Lucien Mélingue situa l'action de son tableau en 1654, à l'issue du siège de Belfort. Mais comment en était-on arrivé là ? Remontons rapidement jusqu'en 1618, qui marque le début de la Guerre de Trente Ans.La Guerre de Trente ans .... hum ...? Souvenez-vous donc, ce conflit qui ravagea et déchira l'Europe aussi bien politiquement que religieusement. En 1621, les troupes protestantes venues d'Allemagne envahissaient l'Alsace. Belfort n'était pas vraiment en première ligne, mais elle fournissait des hommes, des vivres, des hommes et des finances à l’effort de guerre. Le 3 janvier 1633, la ville était violemment assiégée par les Suédois de Gustave II Adolphe, et capitulait deux jours plus tard. Les Suédois, peu intéressés par la cité belfortaine, la cédaient à leurs alliés les princes de Wurtemberg. Mais voilà que les Autrichiens à leur tour mettaient le siège à Belfort que les Prussiens perdirent tout aussi rapidement qu'ils l'avaient obtenue ! La cité ne reste pas bien longtemps autrichienne, car dès mars 1634, les Suédois la reprennent ! Imaginez un peu la vie des belfortains à cette époque ?! Mais je m'égare, et alors directement au siège suivant ! Cette fois, c'étaient les troupes françaises du duc de Rohan qui l’assiègèrent. En janvier 1636, les Suédois capitulaient devant Louis de Champagne, comte de la Suze. S'ensuivit une période relativement calme, jusqu'au Traité de Westphalie qui permettait à Louis XIV de récupérer dans son giron tous les territoires alsaciens de la Maison d’Autriche, avec tous les droits qui s’y rattachent. Ce qui ne plut guère à Gaspard de Champagne, qui avait succédé à son père à la tête de Belfort en 1636. S’estimant lésé par le traité, et soutenu par les Belfortains, il rejoignit le camp des Frondeurs, à la solde du Prince de Condé. Et c'est reparti pour un tour, vous entend-je soupirer ! Et vous n'avez pas tort !
À la fin du moi d'octobre 1652, le maréchal-duc de la Ferté s'installaient sous les murailles de Belfort, établissant un infranchissable blocus. Les négociations ? Pire sourds que ceux qui ne veulent entendre ! Le maréchal patienta... un peu... puis fit gronder le canon. Après tous ces multiples sièges, la cité ne pouvait tenir. Gaspard de la Suze capitula le 23 février 1654, avec les honneurs de la guerre.

Vous vous en doutez, l’histoire de Belfort ne s’arrête pas là, mais elle continuera sans nous, car comme l'aurait dit Rudyard Kipling .... ceci est une autre histoire...

Penchons-nous plutôt sur cette délicate huile sur panneau qui représente le héros de ce siège, Henri de Seneterre, maréchal-duc de la Ferté

Henri de Seneterre était né en 1599, dans une famille de la vieille noblesse d'épée auvergnate. Ses ancêtres avaient valeureusement fourni à la Royauté nombres de héros morts aux combats, un maréchal et ministre d’État. Henri de la Ferté-Seneterre menait à son tour une brillante carrière militaire qui lui valut de recevoir, à l'issue de la bataille de Rocroi, où, commandant l'aile gauche française, il avait reçu 4 blessures sévères, et cinq jours après la mort de Louis XIII, le 19 mai 1643, le titre de gouverneur du duché de Lorraine. Fait comme son aïeul Maréchal de France le 5 janvier 1651, il obtenait la rédition de Belfort le 23  février 1654. Deux ans plus tard, il était fait prionniers à Valenciennes, mais Louis XIV paya sa rançon.

Vie trépidente et pleine de risques et dangers, il atteignit toutefois fort paisiblement l'âge remarquable de 92 ans et s'éteignit doucement dans son sommeil le 27  septembre 1681 .

Nous connaissons de lui le portrait en armure que peignit le belfortain François-Joseph HEIM (1787-1865) sur une commande du roi Louis-Philippe pour la galerie des gloires militaires du Château de Versailles. Il existe également de très nombreuses gravures et estampes le représentant.

Henri de Seneterre, duc de la Ferté, maréchal de France 1599-1681
HST 71 X 55 cm, François Joseph HELM, Belfort 1787 – Paris 1865
Tableau commandé en 1835 par Louis-Philippe, pour le musée historique de Versailles.

Lucien Mélingue, qui sans doute avait pu admirer la toile de son confrère Heim au château de Versailles, campa un maréchal de France dans toute la splendeur de son acte héroïque. Son panache blanc tout comme son bâton de maréchal  en émail bleu garni de fleurs de lys en or **impose sa stature de commandant omnipotent. On ne voit que la gloire et la vaillance du chef comblée par la victoire. Et l’on oublie un peu… complètement, que tout au long de sa carrière, Henri de la Ferté-Seneterre s’éloigna fort par moment de l’idéal chevaleresque de ses ancêtres, en pillant et ravageant les terres qu’il soumettait…

Lucien Melingue n'a pas beaucoup peint, et la plupart de ses toiles sont dans des musées. Cette huile sur panneau est donc exceptionnelle, et représente le détail d'une toile exposée dans l'Hotel de Ville de Belfort.

 

*La toile qui se trouve dans l'Hotel de Ville de Belfort mesure 49 X 23 cm.

** le bâton de maréchal symbolise la dignité éminente et rarissime de cette fonction militaire. L’origine de cet marque de dignité demeur incertain, bien qu’il se raconte qu’elle remonterait au 30 juin 1639 lirsque Louis XIII, devant Hesdin, aurait tendu sa canne au marquis de meilleraye, Charles de la Porte, qui venait de remporter le siège de la cité, en lui disant : je vous fait maréchal, voilà le bâton !
Jusqu’en 1758, la facture de ce bâton fut laissée à la fantaisie des récipendaires, mais toujours en bois. La monarchie de juillet imposa le bleu de fond et la fleur de lys dorée. L’on voit sur ce tableau que Lucien Mélingue a parfaitement respecté les conventions de son époque, sans même le savoir !

 

© Copyright textes et photos : Les Trésors de Gamaliel

Longueur22,5 cm
Hauteur32 cm
Style - PériodePeinture historique École française
SignatureEn bas à gauche
Daté1885
MatériauHuile sur panneau

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